"Cinq raisons de croire (encore) à l'Europe", tel est le titre du Monde "eco&entreprise" il s'agit naturellement d'une mise en commun de tout ce que nous avons en propre, c'est à dire, car il faut être clair, que cette Europe unie en laquelle il faut croire n'est réalisable que si elle est entièrement anglophone.
Nous en avons déjà un avant goût et nous savons déjà où cela nous mène. Aussi a-t-on l'impression, chaque jour confirmée que le journal Le Monde est avant tout un militant de la destruction des nations.
Pourtant, dans son éditorial, la conclusion, conclusion du même jour, mérite d'être citée : "L'Eurpe est un grand marché, c'est l'une de ses forces. Mais à n'être que cela, elle perd, chaque jour davantage, de son âme." Il nous a toujours paru que la langue française était partie intégrante de l'âme européenne, et en tout cas, l'âme de la France, qu'il convient de cesser de trahir.
