5 juin 2011
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On a vu avec quelle véhémence monsieur Badinter a rappelé la présomption d'innocence de monsieur DSK en faisant un silence méprisant sur la plaignante.
On aurait aimé le voir dans cette même disposition combative alors qu'il était président du Conseil Constitutionnel lors de l'examen de la loi Toubon 1994. Il aurait sauvé le projet terminologique français au lieu de le laisser enterrer sous prétexte qu'imposer le français en France est contraire à la Déclaration de 1789 !
Rappelons que ce même Conseil avait approuvé la loi constitutionnelle reconnaissant que le français est la langue de la République.